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La situation reste toujours aussi délicate à la Gdiz-Bénin. Selon nos informations, quatre agents ont disparu depuis quelque temps. Soupçonnés d’être mêlés au scandale sexuel qui secoue la maison, ils ont préféré prendre la poudre d’escampette que de se mettre à la disposition de la Police républicaine. Il s’agit de deux superviseurs de l’usine 3 et de deux représentants des prestataires des usines 3 et 5. Ces derniers avaient été auditionnés à la Sous-direction des affaires économiques et financières (ex-Bef) puis mis sous convocation. Mais ils ne supportent plus les interventions quotidiennes de la Police dans cette zone économique de Glo-Djigbé. Leurs collègues qui restent aussi anxieux, ont constaté leur absence au poste et ne sont pas surpris de leur décision de disparaitre dans la nature. Étant donné que la Police est désormais présente à la Gdiz tous les jours. Nos sources indiquent que dans cette affaire, les candidates sont souvent invitées à déposer une somme de 25.000 f contre la promesse d’obtenir des postes d’opérateur machine et de superviseur. Celles qui n’en disposent pas, se font abuser sexuellement.
Des signes annonciateurs depuis 2023
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L’année dernière, un agent avait été déjà surpris en plein ébat sexuel avec sa collègue dans le magazin de l’une des usines. Il avait perdu son emploi quand l’affaire s’est ébruitée.
